Dans ce monde où tout est vitesse, profit, stress, course à la gloire, il n'est pas étonnant que l'homme se laisse envahir par un trop plein de pensées, d'émotions. Les stimulations sont souvent en excès comme, par exemple, par le biais de la télévision où le jeu et son appât du gain est constant, où l'information nous laisse entendre que le monde est sombre, triste, qu'il court à sa perte. N'est-il que cela? Nous avons besoin d'autre chose pour respirer, nous avons besoin de nous connecter à nous-même et c'est loin d'être la chose la plus facile à réaliser.

Dans ce petit bouquin très facile à lire, Thich Nhat Hanh nous donne quelques clés pour donner un sens à chaque instant de la vie, réussir à déconnecter son esprit de toutes ces stimulations, et se recentrer sur son état émotionnel pour lui apporter un apaisement nécessaire.

J'y ai trouvé du plaisir et de l'apaisement....mission accomplie!

La sérénité de l'instant - Thich Nhat Hanh : 4/5

Laurent Gounelle m'avait enthousiasmé avec Le jour où j'ai appris à vivre, alors je n'ai pu m'empêcher de renouveler l'expérience avec un de ses précédents livres L'homme qui voulait être heureux. Ces deux histoires ont de nombreux points communs, la base étant la découverte de soi, une aventure que j'ai entrepris il y a maintenant un peu plus d'un moi et qui me porte de jour en jour. Laurent Gounelle a une façon simple de nous offrir cette quête intérieure en romançant cette dimension quasi-spirituelle. Ici, il met en scène un homme qui, au cours de vacances à Bali, va à la rencontre d'un guérisseur, d'une sagesse infinie, qui va, au fil des discussions, lui faire prendre conscience de l'infinie richesse de se recentrer sur son bien-être, sur le bonheur, sur l'importance d'être en phase avec ses rêves.

Une nouvelle bouffée d'air frais avec ce deuxième roman initiatique de Laurent Gounelle.

L'homme qui voulait être heureux - Laurent Gounelle : 5/5

Il peut arriver de vouloir se faire passer pour quelqu'un d'autre ou de rêver d'être cet autre. Pour un acteur, c'est différent, il en fait son métier. Michel est en passe de de venir un grand acteur, il le sait, il le sent, la voie est toute tracée. Alors quand celui-ci décide de se dénoncer et de s'accuser d'un meurtre sans cadavre, évidemment, personne ne le croit, ce qui a le don de le déstabiliser.

Alors il va devoir reprendre son histoire depuis le début pour qu'on comprenne sa vérité.

Contrairement à la conclusion de la quatrième de couverture qui qualifie ce roman de "très troublant", je n'ai été troublé en rien et, malgré mon envie de connaître la vérité, j'ai assez rapidement eu envie de passer à autre chose. J'essaierai peut-être un autre de cette auteure plus tard.

Tuer n'est pas jouer - Sylvie Granotier : 2/5