Mike et Tia sont des parents tout ce qu'il y a de plus classiques. Ils ont un enfant de 16 ans et se posent des questions sur son bien-être car celui-ci a tendance à se réfugier dans sa chambre, devant son écran d'ordinateur. A priori, c'est le comportement de beaucoup d'ados et il n'y aurait pas de quoi s'alarmer. Mais Mike et Tia préfèrent aller plus loin et installer un logiciel de surveillance sur l'ordinateur de leur progéniture. Quand un mail inquiétant arrive sur la boîte du fiston, les parents sont aux aguets. Alors quand leur fils disparait soudainement sans un mot, les inquiétudes prennent des allures fondées.

Un thriller sous tension avec deux histoires parallèles (volontairement je ne dévoile pas l'autre ici) qu'on a bien du mal à imaginer intrinsèquement liées. Un bon moment que je conseille.

Sans un mot - Harlan Coben: 3,5/5

île

Albert Dupontel est un type génial, décalé, drôle et flippant à la fois. Sandrine Kiberlain est la fraîcheur incarnée. Quand les deux-là se retrouvent côte à côte dans un film du premier, cela donne une comédie jubilatoire où l'humour si singulier de Dupontel fait mouche.

Ariane est une avocate reconnue, sérieuse dans son boulot, qui mène une vie stricte et est, par conséquent, célibataire et sans enfant. Cette vie toute tracée bascule soudainement lorsqu'elle apprend qu'elle est enceinte de cinq mois. Mais de qui? A priori d'u  certain Bob qui n'est autre qu'un dangereux criminel surnommé le Globophage (mangeur d'yeux). C'est ce qu'on appelle un coup derrière la tête qu'Ariane va devoir affronter...

Une bonne comédie qui fait du bien avec son lot de gags tout bêtes mais efficaces, quelques scènes faussement gores (ça reste Dupontel) et une histoire originale. Je recommande chaudement.

 9 mois ferme - Albert Dupontel : 4/5

île